Qui sommes-nous ?
« La Terre Promise » est composée de nombreux pasteurs français, co-fondateurs ou membres d’honneur de l’association, souvent hauts responsables de fédérations, unions et groupements d’églises.
Jean-Claude CHONG, Secrétaire Général
Gilles SITRUK, Président
L'Association « La Terre Promise » a pour principale vocation l’organisation de voyages évangéliques, bibliques et multiconfessionnels en Israël tout en mettant en avant la diversité et l’ouverture aux autres.
L’association est composée de nombreux pasteurs français, co-fondateurs ou membres d’honneur, souvent hauts responsables de fédérations, unions et groupements d’églises.
Son Secrétaire Général - Jean-Claude CHONG a été encore récemment pasteur dans l’Union des Eglises Evangéliques Libres de France, enseignant et conférencier. Vice-Président de l’Association d’Etudes et d’Informations sur les Mouvements Religieux en France, il a été membre de la Commission Droits et Libertés Religieuses à la Fédération Protestante de France. Il est l’initiateur de nombreux voyages évangéliques en Israël et les accompagnent spirituellement.
Son Président Gilles SITRUK - journaliste, auteur de nombreux ouvrages sur Israël et chef d’entreprise - travaille essentiellement à multiplier les séjours évangéliques en Israël, mais aussi les voyages multiconfessionnels destinés à des populations diverses afin de leur faire découvrir le « Vivre Ensemble » en Israël, notamment autour des lieux saints des grandes religions que la Terre d’Israël renferme. Des voyages religieux dédiés au visiteurs issus des communautés juive, chrétienne ou musulmane de France, Suisse, Belgique, Grande-Bretagne, du Canada et d’Amérique du Sud.
Celia Tharrault, responsable de l'administration, s'occupe avec dévouement de toutes questions administratives et financières.
C’est ainsi que « La Terre Promise « a réalisé de nombreux voyages :
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Circuits évangéliques divers et riches en visites et rencontres depuis la Haute Galilée jusqu’au sud du Néguev et de la Mer rouge, de Jérusalem à St Jean d’Acre et de Jaffa à la Mer morte.
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De nombreux voyages composés de pasteurs et responsables d’églises de France.
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Initiateur du Voyage commun et solidaire de la Paix, avec les plus hautes autorités religieuses chrétiennes, juives et musulmanes de France. Des voyages qui démontrent qu'il est possible de vivre une démarche symbolique fraternelle dans l’objectif de prier ensemble et d’installer une relation respectueuse, porteuse de paix entre les religions.
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Le voyage du « Vivre ensemble en Israël « avec de jeunes musulmans et Latifa Ibn Ziaten dont le fils a été assassiné à Toulouse.
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De multiples voyages de français musulmans qui souhaitent faire leur pèlerinage à Jérusalem et aller à la rencontre de la diversité israélienne.
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Organisateur de voyages de délégations de journalistes français.
Une vocation et des actions qui ne doivent pas faire oublier l’essentiel : C’est de favoriser et multiplier des séjours en Israël au milieu des beautés immuables d’une Terre ancestrale et des lieux saints, source d’une grande émotion spirituelle pour tous les croyants.
Lettres de recommandations adressées à La Terre Promise
Lettre de Guy ATHIA
Directeur de la Rédaction Du Berger d'Israël
Lettre de Alain Deheuvels
Pasteur - Directeur Général de la Fondation La Cause
Lettre de Reynald Kozycki,
Pasteur, président du Réseau FEF
Lettre de Monsieur l'Ambassadeur de France en Israël
Mr Patrick Maisonnave, adressée au partenaire israélien
de La Terre Promise
Lettre de l'ambassade d'Israël
en France , adressée au partenaire israélien
de La Terre Promise
Célia THARRAULT, Responsable Administration
Présence biblique pendant votre séjour en Israel
L’étroite bande de terre qui va du Hermon à Eilat est un livre qu’on feuillette pas à pas, et où chaque page moderne trouve son écho dans le plus ancien de tous : La Bible. On ne peut faire de promenade sans qu’un quelconque souvenir surgisse du sable. Terre biblique par excellence, Israël tout entier fusionne entre le passé et le présent. Quel que soit le lieu de vos vacances en Israël, un passage de la Bible s’y rapporte quelque part.
La Bible qu’on feuillette pas à pas
Considérez cette route, entre Ramleh et Jérusalem : c’est là que Josué arrêta le soleil pour vaincre les Amorites… Dans ces plaines, sur la route qui mène à Beersheba, vous installez votre table et votre glacière portative… mais voilà, c’est là, justement au même endroit que David essaya sa fronde sur le front de Goliath…
Cette plage d’Ashkelon ou vous posez un pied dans la mer d’émeraude, cette plage a vu Samson, trahi par Dalila, jeter à bas les colonnes du temple dont vous pouvez encore toucher un fragment ! Et peut- être verrez-vous un peu plus loin le point de chute de Jonas quand la baleine le rendit au jour… Vous qui montez vers le Mont Tabor, pensez au Roi Saül qui se lamenta la veille de sa mort, là tout près, sans doute.
Vous qui descendez sur Eilat, regardez ces colonnes de pierre : l’entrée des mines du Roi Salomon… peut-être marchez-vous dans la foulée de ce grand roi quand il allait rendre visite à ses mineurs. Et la mer Morte. Etes-vous passé par Sdom ? Mais oui, c’est Sdom, la Sodome de la Bible qu’un destin tragique devait annihiler avec Gomorrhe… Et si vous regardez bien, si vous cherchez bien parmi les sédiments salins, peut-être distinguerez-vous cette forme figée dans sa légende : la femme de Lot ? Comme le Premier Testament, le Nouveau a aussi ses racines en Terre d’Israël.
Sur les pas de Jésus…
Jésus vécut sur les bords du Lac des Béatitudes (Lac de Tibériade) et le Mont Sion fut le théâtre de la « dernière Cène ». Parcourez Bethléem, ville où naquit Jésus puis Nazareth où il passa son enfance En vous rendant ensuite à Capharnaüm, sachez que Jésus s'y rendit plusieurs fois et qu'il y résida, accomplissant plusieurs miracles. Si vous visitez Tabgha, c’est sûrement le lieu où Jésus prit cinq pains et deux poissons et les multiplia en les distribuant au peuple, qui en reçut en quantité plus que suffisante. C’est au sommet du Mont Thabor que se déroula sa Transfiguration. L’ascension du Mont des Oliviers à Jérusalem permet de s’imprégner des derniers jours du Christ, puis gravissez le Mont Sion (théâtre de la « dernière Cène ») qui abrite la colline du Golgotha, lieu du Calvaire de Jésus. On accède au sommet au lieu de sa Crucifixion.
Comprendre les symboles d’Israël
Les symboles d’Israël sont liés à son hymne, à son drapeau et à ses emblèmes.
Ainsi l’hymne national, ” Hatiqwah ”. Ce mot est le symbole de la recherche d’une source d’eau vivante, image de la Torah qui apparaît soudain pour sauver le peuple de la soif et de la sécheresse du désert, c’est à dire de l’ignorance et de l’idolâtrie. Cet hymne fut composé pour la première fois par Naphtali Herz Imber en 1878 à Jassy en Moldavie, sur un air folklorique moldave, inspiré semble-t-il par la nouvelle de la fondation de la cité de Petah’ Tiqwah en Palestine. Remanié à plusieurs reprises, l’hymne n’a pris sa forme définitive qu’à la création de l’Etat d’Israël en 1948. Cet hymne suggère une volonté affirmée, mêlée à de la tendresse.
Le drapeau frappé de l’étoile de David (ou sceau de Salomon) avec ses rayures bleu sur fond blanc est aussi le résultat de choix faits il y a plus d’un siècle. Herzl rêvait d’un drapeau blanc rappelant la pureté du projet sioniste avec sept étoiles dorées, le chiffre sept étant en relation avec le projet visionnaire d’un nombre d’heures travaillées par jour, souhaité pour Erets Yitsrael ! Le groupe sioniste H’ibat Tsion a réussi à imposer le Magen David, la couleur bleue sur fond blanc provenant d’un poème de 1860 où le blanc est comparé à la radiance de la foi et le bleu à la profondeur du firmament. La couleur bleue suggère une certaine perfection ainsi que la profondeur des confins de l’univers. Dans l’association bleu-blanc, le bleu fait ressortir la blancheur du blanc qui représente à la fois une confusion des couleurs et, de ce fait, une certaine vacuité devant être remplie par la sainteté.
Lors de sa création en 1948, l’Etat d’Israël devait choisir un emblème. L’emblème choisi pour l’Etat est le signe le plus répandu de l’iconographie juive, le chandelier à sept branches ou ménorah. Il est manifeste que cet objet évoque un arbre. En fait le modèle serait un arbuste du type sauge qui pousserait sur le mont du Temple à Jérusalem. Le mot ménorah évoquerait la lumière, mais aussi la chaleur. Prenant racine soit dans la Terre, soit dans le Ciel par ses branches, l’arbre-chandelier faciliterait une forme de communication entre le haut et le bas. Enfin, l’image la plus importante du tourisme israélien est une grappe de raisin suspendue entre deux porteurs barbus. Il s’agit en fait d’une réminiscence biblique, les explorateurs expédiés par Moïse pour reconnaître la Terre promise et revenus avec une énorme grappe, provenant sans doute de la région de Hébron. La vigne est un signe de beauté, de splendeur, de richesse et de fécondité.
Gilles Sitruk
Président de LA TERRE PROMISE
Les Evangéliques, Israël et la France
Il faut savoir qu’en France métropolitaine, et sur un total de 1.700.000 protestants, 600.000 sont des pratiquants réguliers. Et sur ces pratiquants réguliers, 460.000 se réclament du protestantisme évangélique. Un nombre multiplié par 9 ces soixante dernières années. Sur le plan de l’infrastructure, 2068 Eglises locales ou paroisses existent en France et 35 nouvelles Eglises sont créées chaque année. C’est dire l’ampleur et la vitalité de cette composante du protestantisme. Ainsi et selon Patrice Kaulanjan, Président du Centre Evangélique, « Le mouvement évangélique - branche du protestantisme - croît continuellement en France et constitue même la plus forte progression parmi toutes les religions. Ses différentes composantes se distinguent en fonction de leurs missions tout en se rejoignant progressivement au sein du CNEF (Conseil National des Evangéliques de France). »
C’est ainsi que près de 200 exposants sont venus au dernier Centre Evangélique (dont LA TERRE PROMISE) qui s’est tenu à Charenton fin novembre 2019 dans le but de présenter leurs activités et promouvoir leurs actions au service de la communauté évangélique.
Présente à cette importante rencontre évangélique, notre Association « La Terre Promise » - a montré ses nombreuses réalisations durant ces dernières années et dévoilé ses multiples projets pour l’année 2020. Nous avons été impressionnés par l’état d’esprit des participants à ce congrès : tolérance, solidarité et amour d’Israël. La plupart des exposants sont issus d’associations humanitaires, maisons d’édition d’ouvrages chrétiens, écoles religieuses ou institutions caritatives. Cet amour d’Israël se manifeste d’ailleurs de différentes façons et par le biais d’associations qui diffusent le message évangélique auprès du peuple juif, dans le respect de l'identité et des traditions juives, ou encore l’action menée par de nombreux pasteurs présents pour promouvoir la destination « Israël » comme la Terre où Dieu et l’homme ont fait alliance.
Précisons que la plupart des pasteurs rêvent d’un séjour en Israël à l’occasion duquel ils viendraient avec les fidèles de leur paroisse pour parcourir les sites bibliques et contempler les lieux où Jésus a enseigné et vécu.
« Concernant les rapports entre Israël et notre mouvement évangélique français, il faut savoir que nos racines sont en Israël, notamment dans l’ancien testament », nous rappelle Patrice Kaulanjan. « Les évangéliques sont très proches d’Israël car nous nous considérons comme les descendants spirituels d’Abraham. Pour nous - évangéliques - Israël est l’accomplissement de ce que Dieu a promis à Abraham. Nous sommes conduits par une amitié profonde fondée sur les Ecritures bibliques. D’où cet afflux continu et grandissant de visiteurs évangéliques français en Israël ou de rencontres régulières dans les synagogues avec nos amis juifs de France. Notre attachement à Israël est profond et fondé sur les Ecritures, quelque soit les vicissitudes des relations politiques présentes et futures entre nos deux pays ».
Ainsi, les liens privilégiés de nombreux évangéliques avec Israël sont assez uniques : Ils affichent souvent un soutien au peuple juif. Les Juifs, quant à eux, acceptent volontiers ce soutien. Pour comprendre comment pareils liens ont pu se développer, il faut savoir que les évangéliques en sont venus à considérer l'histoire de la Bible comme leur histoire, et la terre biblique comme une sorte de patrie d'adoption. Israël, c'est le lieu où Jésus est né, a exercé son ministère, a été crucifié, est ressuscité. Chaque année, des dizaines de milliers d'évangéliques accomplissent ainsi ce que l'on pourrait assimiler à un pèlerinage religieux en Terre Sainte, foulent les chemins " où Jésus a marché ", et contemplent de leurs yeux ces lieux dont toute leur mémoire est pétrie. En un certain sens, ils s'attribuent la Terre Promise tout autant qu'aux Israéliens.